Image 5 : facilité assurée

allez celle-ci est facile vous pouvez inventer n'importe quoi...

bon courage :)

L'histoire :

La vieille dame observait avec délice un oiseau, posé sur une branche de l'arbre qui s'élevait majestueusement face à sa maison. Installée confortablement dans son fauteuil, Carmen s'énivrait chaque après-midi de ce spectacle auquel elle avait la chance d'assister. Elle n'avait d'ailleurs jamais acheté de téléviseur : quel intérêt ?
Sa maison, située en pleine campagne, était bien trop grande pour elle, et l'entretien des pièces l'épuisait. Mais pour rien au monde elle ne l'aurait quittée ! Trop de souvenirs la retenaient ici ; elle ne pouvait donc se résoudre à abandonner ces murs, témoins du bonheur parfait qu'elle avait connu avec son défunt mari...
Mais revenons-en à cet après-midi ensoleillé, plongé dans une quiétude que rien ne semblait pouvoir déranger. Carmen n'avait aucun voisin proche, le premier se situant à plus d'un kilomètre. Le facteur lui-même ne passait en règle générale que deux fois par semaine... Pourtant, un mouvement au loin attira l'attention de la vieille dame. Chaussant ses lunettes, elle se mit à scruter l'horizon avec curiosité. Etait-ce bien la silhouette d'un homme qu'elle avait aperçue ? Ou était-ce le fruit de son imagination ?

La silhouette se rapprochait doucement, au rythme de la marche. Oui, c'était bien un homme, vêtu semblait-il d'une longue cape. Il marchait lentement comme s'il prenait son temps, comme s'il savourait chaque pas qu'il faisait sur la petite route de campagne.
Non, finalement pas une cape, un long manteau, blanc ou... beige clair. Lhomme se rapprochait encore, un chapeau lui cachait le visage, un chapeau de couleur claire. Carmen se redressa sur son fauteuil pour mieux voir : blanc, définitivement blanc. De la tête au pieds.
L'homme arriva enfin à hauteur de la barrière de Carmen. Il s'arrêta. Il semblait fixer un point devant lui. Puis lentement il se tourna vers la barrière, la maison, vers Carmen. Son chapeau lui cachait toujours le visage. Il leva une main et poussa la barrière...

Carmen fut alors prise de panique...
Mais qui était donc ce visiteur ? Que devait-elle faire ? Se cacher ? Faire comme si il n'y avait personne ??? Non ce n'était pas ce qu'elle 'devait' ni ne 'pouvait' faire...
En effet, elle ne pourrait faire croire à personne que cette maison était inoccupée, d'ailleurs la bouilloire commençait même à siffloter, qui partirait de chez lui alors qu'il s'apprêtait à se faire une tasse de thé ?
Elle se tint alors devant son miroir, tira sur son tablier, pour en lisser chaque pli, l'un après l'autre, rapidement, mais parfaitement... Elle releva ensuite la tête pour ajuster ses cheveux, et lorsqu'elle se découvrit dans le miroir, elle se dit qu'elle ne se reconnaissait plus, le poids des années l'avait tellement changée...
Enfin... Pas de temps à perdre, elle entendait déjà la vieille boiserie de son perron craquer...
L'homme en blanc fit alors tinter la cloche... Cette cloche qui ne servait 'jamais'...
La vieille dame, alors prise d'un sentiment nouveau, s'empressa d'aller l'accueillir, énervée mais calme, anxieuse mais ambitieuse, angoissée mais curieuse...
Elle ouvrit cette vieille porte en bois, dont les chambranles craquaient sans cesse....
"Bonjour Carmen...
-J....Jo....Jos........"
Carmen s'arrêta net.
Non ce n'était pas possible ! Ce teint halé, ces cheveux bouclés, et ces yeux : ces larges pupilles d'ébène encerclées d'un bleu translucide, si 'surnaturel', et ce visage, ce même visage, inexpressif, mais si doux... Juste les rides en plus, mais non tout cela était impossible, Joseph était mort il y a de ça de nombreuses années... Elle ne l'avait pas vu, depuis au moins une quarantaine d'années alors que Paolo son mari était toujours là, à ses côtés...
"Carmen... Je prendrais bien une tasse de thé, j'ai tant de choses à te dire...
-Da, da, daccord, entrez, enfin... entre.... Tu es le bienvenu..."

Ca me fait penser à "Dawson" lol... C'est vrai que ça m'inspire plus que les précédentes, vais réfléchir

(Jolie l'image en tout cas!)

Oui!Dawson creek's!
I don't runawaaaaaaaaaaaaay!!!!Lalala! lalalaaaaaa!

ouahhhhhhhhhhhh joli des mots joliment choisis, un style parfait! bravo :)

Et si...j'essayais...

La silhouette se rapprochait doucement, au rythme de la marche. Oui, c'était bien un homme, vêtu semblait-il d'une longue cape. Il marchait lentement comme s'il prenait son temps, comme s'il savourait chaque pas qu'il faisait sur la petite route de campagne.
Non, finalement pas une cape, un long manteau, blanc ou... beige clair. Lhomme se rapprochait encore, un chapeau lui cachait le visage, un chapeau de couleur claire. Carmen se redressa sur son fauteuil pour mieux voir : blanc, définitivement blanc. De la tête au pieds.
L'homme arriva enfin à hauteur de la barrière de Carmen. Il s'arrêta. Il semblait fixer un point devant lui. Puis lentement il se tourna vers la barrière, la maison, vers Carmen. Son chapeau lui cachait toujours le visage. Il leva une main et poussa la barrière...

To be continued...

Génial !!!!! Merci Agatha !!!! En espèrant que quelqu'un reprenne le flambeau

je m'y colle demain si je trouve un tit moment (normalement pas de pb) bisous

bon désolée hier jai oublié

mais voila la suite :

Carmen fut alors prise de panique...
Mais qui était donc ce visiteur ? Que devait-elle faire ? Se cacher ? Faire comme si il n'y avait personne ??? Non ce n'était pas ce qu'elle 'devait' ni ne 'pouvait' faire...
En effet, elle ne pourrait faire croire à personne que cette maison était inoccupée, d'ailleurs la bouilloire commençait même à siffloter, qui partirait de chez lui alors qu'il s'apprêtait à se faire une tasse de thé ?
Elle se tint alors devant son miroir, tira sur son tablier, pour en lisser chaque pli, l'un après l'autre, rapidement, mais parfaitement... Elle releva ensuite la tête pour ajuster ses cheveux, et lorsqu'elle se découvrit dans le miroir, elle se dit qu'elle ne se reconnaissait plus, le poids des années l'avait tellement changée...
Enfin... Pas de temps à perdre, elle entendait déjà la vieille boiserie de son perron craquer...
L'homme en blanc fit alors tinter la cloche... Cette cloche qui ne servait 'jamais'...
La vieille dame, alors prise d'un sentiment nouveau, s'empressa d'aller l'accueillir, énervée mais calme, anxieuse mais ambitieuse, angoissée mais curieuse...
Elle ouvrit cette vieille porte en bois, dont les chambranles craquaient sans cesse....
"Bonjour Carmen...
-J....Jo....Jos........"
Carmen s'arrêta net.
Non ce n'était pas possible ! Ce teint halé, ces cheveux bouclés, et ces yeux : ces larges pupilles d'ébène encerclées d'un bleu translucide, si 'surnaturel', et ce visage, ce même visage, inexpressif, mais si doux... Juste les rides en plus, mais non tout cela était impossible, Joseph était mort il y a de ça de nombreuses années... Elle ne l'avait pas vu, depuis au moins une quarantaine d'années alors que Paolo son mari était toujours là, à ses côtés...
"Carmen... Je prendrais bien une tasse de thé, j'ai tant de choses à te dire...
-Da, da, daccord, entrez, enfin... entre.... Tu es le bienvenu..."

Toi qui me disais que c'était nul ! Ce n'est pas le cas du tout !!!!

Il faut une suite !

Bravo Wapinoute

j'ai regroupé le tout en haut :) faudra trouver un titre

Je propose "Lui" ou "L'autre" mais c'est déjà pris.

moi je propose 'Cottage'