malgré ma volonté de stoïcisme dit-on
de grosses larmes gonflèrent mes paupières
je n’arrive pas a trouver un jargon
qui peut traduire mon chagrin amer
éperdu, j’ai disloqué ma plume
je ne peux discerner qu’une épaisse brume
qui dissimule la bannière de la vérité
et qui en m’égarant me consume
et toi ma rose…rêveuse et épanoui
souvent je lisais dans tes yeux l’hymne de la vie
ta voix qui dodine en chantant
ton visage qui dardait ses rayons
ton sourire qui profuse le bonheur
et ton ame qui déborde de douceur
Hélas ….Dans cette vie
Tout se fane tout périt
La beauté le sourire des enfants
La béatitude la jouissance des amants
Et ainsi j’ai perdu tout espoir
Meme ma source de sagesse s’est tarie
Je ne peux plus éviter de choir
Dans le gouffre de l’oubli et de la mélancolie
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