Le sans titre s’est dressé
Les temps de nos eaux ne seront plus
En nos milles cœurs le vent à cessé de siffler
Circule et flâne
Mais le soir où la tempête
couvrira de gifles noires les feuilles tendres et recroquevillées
Ce soir, l’arbre électrique de nos chairs mêlées tombera
Entre l’abîme et le creux
Le creux s’est fait abîme et le temps s’est dévoilé
L’histoire couverte mourante ?
Semblait pale à nos bouches battantes
C’es ton corps que je buvais jusqu’au silence
Peu à peu la terre
De lanternes violentes de désaxements, s’est désossée
Plus ne tend
Ni lèvres ni
Plus que
Le mal à exprimé
L’amour
Qu’en est il apesanteur ?
La parole plutôt que l’abîme est creuse
Prends moi et moi, je ne mangerai plus